Notes de la discussion
Présentation de Martin et Laurie : Thème : archive et bases de données Projet : expériences sur bibliothèques
Qu'est ce qui différencie une archive d'une bases de données ? Juliette : Base de données c'est plus numérique, archives c'est moins concret, ca peut être un notion conceptuelle aussi. Léo : bdd c'est aussi un support ? Martin : archive c'est tangible, la base de donnée c'est un nuage d'infos autour d'un groupement d'objets. Laurie : Pour moi un bdd c'est un annuaire, une compilation Juliette : au départ l'archive c'est très officiel, on y garde les traces de transac, ensuite s'est posé la questio des objets et d'autres items stockables. Les frontières sont pas stables entre les différentes choses concernées par l'archive. Aujourd'hui on garde tout Lionel: Non je pense pas, on a pas tout dans des bdd Juliette : Oui mais tout est POTENTIELLEMENT archivé. (Lionel : ouais.) Lionel : Est ce que l'archive c'est de l'histoire ? Juliette et Laurie : oui c'est une trace mais partielle
Each ordering tells a different story of the archive. guttormsguaard.activearchive.org
Mel veut entendre plus sur le projet de M et L Juliette : Bibli amstedam : les livres sont indexés avec des symboles de manière visuelle Martin : ouais c'est classé par genre, mais c'est un parti pris de l'intégrer directement à l'étiquette, ca implique un choix, certains bouquins tomberont dans plusieurs catég Juliette : problèmes de clartés parfois
MArtin : on a essayé de categoriser des livres entre des romans, ce sont des catégories un peu poreuse, et on s'est vite rendu compte des catégories imposées. Il existe des nomenclatures existante donc certaines assez poussée. ex: library of congress, elle fonctionne en profondeur. Certaines catégories sont mises en place autour du classement, de facon super précise. Ya des modèles qui sont interessants a suivre. On a essayé d'aller le plus dans le détail possible, notre outil au final est facile a utiliser, rapide et on a essayé d'être le plus exaustif possible dans les informations dispos sur un livre Laurie : on essaye aussi de croiser des données pour etre le plus obj possible Martin : Ouais quant aux choix des données qui nous interessent, on est très subjectifs, on construit notre outil selon les thèmes et types de donées qui nous interessent personnellemnt. Tout comme des données comme L'ISbn ne sont même pas nécéssaires dans certains pays.
Martin : Paul Hocley : système de classification : créer des catégo et y faire entrer tout types de médium dans ces catégories : ca créé un feedback Lien avec Google : quand on fait une recherche sur google, on adapte son langage aux résultats qu'on obtient pour affiner ses recherches. Lionel : dans cette classif, Y'a des différences avec Google, ca marche pas comme ça, c'est hierarchique (arbre). Google c'est un corrélation de mots clés, un système de tags, c'est super différent. dans un systeme catégorique, ajouter une nouvelle catégo c'est chiant. Pierre : dans deux semaine workshop collection décollection btw !
Martin : Idée d'API : interface qui permet d'ouvrir des bdd a des clients (portes d'entrée), et de ne pas réserver son accès à son créateur. Gab : API pour ? Martin : ? Gab : application for programming interface laurie (schéma du dispositif du projet) : au début, scanner du numéro ISBN qui permet de le localiser dans la bdd. MArtin : c'était long, 1/4 d'h par livre. donc le tableur est arrivé. retour API : amazon, si on veut garder une image depuis leur API : on garde le logo sur l'image, elle reste un lien vers eux. Différence archive bdd : la bdd est purement informationelle. L'archive c'est après un process 'd'appropriation', la donnée devient un butin. au début, on a juste créé un framacalc (qui permet de stocker les recherches qu'ont fait en genre de backup) entre nous (aussi parce qu'on avait pas internet chez nous). On a utilisé un script d'analyse visuelle, on passe le code barre devant la webcam, et on accède aux données que par exemple google books lui attribue (ou open library). On est confrontés à la classification d'autres bdd. Combiner et confronter les bdd permet une plus grande exhaustivité des infos auxquelles on accède. On se sentait pas trop de nous même associer tel et tel bouquin à telle ou telle catégorie, donc on a laissé d'autre bdd le faire. C'est interessant de savoir que des institutions payent ce genre de services, et le matériel qui va avec (scanner de codes barres..) Exemple d'activearchives.org : archive d'un artiste genre suédois : Objets, livres et possessions de ca gars en photos (btw question : archive = objets eux mêmes ou photos ?), L'organisation peut paraitre absurde (par taille de fichier, par reconnaissance faciales...). ici c'est l'objet image qui est traité. Nous on est pas obligé de scanner les livres sur lesquels on travaille, c'est pas forcémment le propos Lionel : il existe des services qui découpent la tranche et font des scans automatiques ensuite Mel : ouais ya un service aux US qui te scanne le livre en le détruisant et on t'envoie les fichier.
Martin ; on pourrait ensuite s'interesser aux outils que les librarys et bibli utilisent aujourd'hui. a la KBR par ex : y'a comme un standard d'indexage pour pouvoir partager, communiquer avec d'autres bibli. si ca se trouve ttes les libs utilisent le même soft.. question amateur/pro : la KBR utilise un ouil très cher et qui n'est pas particulièrement performant, loin d'être infaillible du moins ! Lionel : das le processus que vous avez montré : pr aller plus vite vous utilisez les bdd en ligne. Donc une étape de validation de votre part quant aux infos récupérées. Est ce qu'il est pas interessant de tout garder de ce que vous trouvez ? Même les bugs ? Ca serait révélateur de la représentation d'un bouquin sur internet, de comment il est encodé sur internet. M et L : ouais ouais ouais.
Gab : est ce que c'est en ligne votre bdd ? Martin : nope, c'est encore trop partiel peut être.. Ce qui est interessant c'est les questionnement qu'on a eu pendant le processus de création de ce truc. C'est destiné à etre montré ouais mais sous l'angle de l'organisation, pas du contenu en soi
Léo : dans une bdd 'trouver un livre' c'est trop cool, en fonction d'un type d'info qu'on cherche.. c'est pas votre but Lionel : c'est vrai que votre système n'est pas très manipulable.. Marie ouais mais au final c'est de l'archive, pas de la bdd.. Vous indexez, vous faites aps dans le contenu
julie : pourtant ce que tu disais tout à 'heure : des archives on se l'approprie.
Martin : un catalogue de bibliotheque ne remplace pas une bibliotheque
Lionel : une bibliotheque n'est pas une archive
Martin : y'à quand meme un coté un peu exhaustif
Lionel : La question des bibliotécaire, est ce qu'ils ont l'impression d'avoir un archive, ou meme une base de données?
Laurie : il y quand meme une notions de conservation, défiitivemet on est interessés par l'idée de construire une bdd.
Lio : BNABBOT par exemple, ont une basedd qu'ils considèrent comme un archive, je trouve que l'archive c'est une idée d'écrire l'histoire.
Pierre : dans la notion d'archive y'à pas un peu l'idée de on garde au cas ou? Lionel: c'est ça le truc Pierre : alors qu'une bibliotheque on choisis des livres. Giordana : une bibliotheque c'est pas une archive c'est une collection Lionel : a la KBR ils ont des archives? Martin ; ouais ils ont les vieux bouquins, mais ils ont aussi les archives de la bibli en elle même : les vieux plans, les traces de la vie de la bibli.. Lio : a chaque réorg de la bdd, on crée une histoire différente, archiver c'est décider de ce qu'on donne à voir.
Julie à une question : vous voulez faire une base de donnée pour tout garder? parce que l'idée de tout mettre au meme endroit c'est dans le but d'écrire une mémoire, mais pourquoi on fait ça? Par exemple sur internet on accumule plein de truc et on garde tout
Martin : c'est plus une question d'organisation, j'y vois pas spécifiquement d'application pratique
Lionel : c'est marrant ça, c'est absurde.
Martin : concretement on peux avoir l'image du code ou de la progra qui améliore notre vie, nous on a trouvé un moyen de faciliter notre processus, mais notre processus est deja absurde. C'est la question decouvrir et de chercher. On veut pas ouvrir une bibliotheque, c'est de l'experimentation
Lionel : vous vous entrainez
Martin : ça nous pousse à réflechir : isbn, sous titre, réflechir au livre quoi. Moi j'ai créer une base de donnée de mes dépenses sur exel, comme un rituel
Gab : moi aussi je fais ça
Martin : ça me rassure. Vous avez des bases de données vous?
La belle mere de juliette et la mere de marie garde un carnet avec ce que les gens qu'elles rencontres aiment et n'aiment pas pour ne jamais se tromper quand elles font à manger. Juliette : l'avantage dans ma bibliothèque : y'en à tjr un qui ne rentre pas, qui te force à revoir l'ordre. Donc si c'est dématerialisé tu peux les mettre dans toute les classes, tu peux moins te tromper. Mel : c'est un peu revelateur de nevrose non? Lionel : ça à de l'interet ce truc de nevrose Martin : Y'à peu d'autre exemple sur lequel travaillé Mel : construire ta bdd c'est en fonction de ce que t'as sous la mainpar ex Martin, ouais on s'y connait mieux en livres donc on a fait les livres. Gab : est ce qu'il existe un dépot légal de CD ? ouais le dépot légal comprend livres documents sonores et bdd