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Lionel : Faut-il divisier les espaces en groupes de travail ? Les projets s'inscrivent chacun dans une thématique.

Mélanie : Dans la masse des informations que l'on doit chacun documenter, on peut certainement trouver des liens entre les groupes de travail.

Juliette : Selon moi il ne faudrait pouvoir sédimenter par projet, et ne pas commencer à tout mélanger. Moi j'ai l'impression que toute la documentation de mon projet s'empile puis que je puisse la brasser sans qu'elle soit partagé pour tous les projets. Rien n'empèche toutes les trois semaines on mette ça en commun.

Lionel : On est d'accord qu'il y à une étape d'accumulation, faut-il que chaque projet ait un espace d'accumulation ?

Marie : C'est peut être plus simple de ne pas se mélanger.

Lionel : Il nous faudrait un systême dans lequel on aurait des entrées qu'il s'appelerait "projet".

Juliette : Et certainement une boite physique plus un dossier virtuel pour chacun.

Lionel : On peut certainement prendre un ordinateur fixe et y mettre les projets de chacun.

Julie : On peut peut être chacun choisir son systême de classement.

Mélanie : Est ce qu'on partagerait pas plutôt tous un classeur ?

Juliette : Moi j'ai besoin d'avoir un boite. Je suis pas sure qu'il faille standardiser tout ça.

Julie : Chacun à des objets différents,

Lionel : Il y à l'étape d'accumulation, puis celle de mise à plat.

Laurie : On mettre en place un systême qui combine la 2D et la 3D.

Marie : Alors on pourrait avoir un classeur plus une boite par projets pour y mettre les deux.

Laurie : Il faut que la standardisation permette que les projets soient alimentés aussi par les autres et peut nous permettre de mieux envisager les projets des autres.

Martin : Ne faudrait il pas avant ça voir quel type de données sont générées par nos recheches ? Pour mon projet par exemple c'est surtout des liens, des images, des diagrammes.

Mélanie : Pour moi c'est beaucoup des articles, ainsi que mon carnet.

(pause) ---

Lionel : Finalement à quoi servent les trois heures de cours ? Initialement, le cours était prévu comme des ateliers mobiles.

Julie : Je pense que le cours est l'endroit idéal pour travailler et pour que chacun avance dans son projet.

Lionel : Moi ce que je vois c'est qu'il faut se servir des travaux comme base de travail pour une réfléxion. Dans les travaux il n'y à pas vraiment d'opinions. Ces moments de mise en commun pourrait être pensés comme une vrai discussion produisant du sens.

Juliette : C'est à dire provoquer des discussion à partir des projets ? Moi j'y accroche mieux que les tours de table.

Lionel : Essayer de se servir du groupe comme un lieu où on discute et on peut produire un discours. On pourrait se faire une sorte de calendrier.