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====Le programme de visualisation====
 
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Le processing que j'ai fait est constitué selon les principes du [https://www.youtube.com/watch?v=vdgiqMkFygc" particule système"]
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Le processing que j'ai fait est constitué selon les principes du [https://www.youtube.com/watch?v=vdgiqMkFygc Particle systems de Daniel Shiffman]
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ainsi que les attributs fondamentaux de son comportement, la position,  la vitesse, l'accélération et les rapports entre ces trois vecteurs.
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puis une lifespan afin de ne pas surcharger le programme.
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ainsi que le chargement d'une Shape (non attribuée pour le moment)
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Le "particle system":
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Dans cette partie du programme il s'agit plus de l'évolution de la particule, notamment en lui attribuant un mouvement, une vitesse (en random)
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C'est aussi la que le principe d'ajouter une particule intervient.
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Le "system" :
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Dans un premier temps il charge le chemin vers le svg (choisi aléatoirement)
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puis j'ai défini le nombre de particule qui devait se créer a chaque frame, pour le cas présent 27, le positionnement de base ou celles ci devait se positionner (ici un axe horizontal en bas de la fenêtre du programme)
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puis j'indique au programme de tracer tout cela .

Version du 30 avril 2016 à 18:18

Projet Checkpoint



Marc Augé, publie en 1992, son livre, Non-lieu, introduction a une anthropologie de la surmodernité. Dans celui ci il s’intérresse à plusieurs choses symptomatiques de cette société; le temps et son accélération, le rétrécissement de l’espace (et la globalisation, ainsi que l’individualisation à outrance. Ces lieux, seraient en opposition avec les lieux anthropologiques, ceux dans lesquels nous construisons nos mémoires. Les non-lieu deviennent des espaces de soi à soi, ils sont l’individualisation solitaire du passage, du provisoire, de l’éphémère. Ils sont devenus aujourd’hui des passages obligatoires, des flux auxquels on ne peut échapper. Dans c’est espaces la seule chose présente est le mouvement, la circulation des personnes devenues anonymes. L’accumulation de ces anonymes vient alors annihiler l’espace.

Un espace qui ne peut se définir ni comme identitaire, ni comme relationnel, ni comme historique se définira comme un non-lieux» M. Augé"


Pour définir les limites de ces espaces, nous avons mis en place de nouvelles frontières; les checkpoints. Ces frontières sont le filtre poreux de deux espaces pas forcément contigus ni dans l’espace, ni dans le temps. Et cette limites est devenue symbolique autant que physique. Dans ces lieux il est toujours question d’attente, de circulation, ils ont été créer pour répondre à des contraintes de flux, de sécurité, d’informations, et d’économies. Ces non-lieux répondent aussi à des questions d’interchangeabilité, les signes mis en place sont des «non-signes» (Ruedi Baur), ils sont universels et «optimisés» pour une lecture linéaire décontextualisé. Les checkpoints deviennent alors la limite d’espaces neutres

Principes

Sujet : les portiques de sécuité des aéroports

En entrée : un flux de "personnes" traversant un/des portiques = le nombre de personnes actuellement dans les aéroports

Outil : Processing

En sortie : une réprésentation graphique des individus actuellement dans les aéroports mondiaux.

Application possible : Relié a une imprimante thermique pour la rapidité d'impression Imprimer la représentation du nombre de personne surune minute, une heure, un jour?


Références




Première approche

Déterminer une typologie des personnes :

caption

La typologie prend forme selon 8 critères:

  1. Sexe
    1. Homme
    2. Femme
  2. Situation pour le vol
    1. Seul
    2. Accompagné
  3. tranche d'age
    1. -25 ans
    2. 26 - 35 ans
    3. 36-45 ans
    4. 46-59 ans
    5. +60 ans
  4. Situation professionelle
    1. Actif
    2. Inactif
  5. Profession
    1. Cadre supérieur / chef d'entreprise...
    2. Cadre moyen
    3. Employé
    4. Indépendant
    5. Retraité
    6. Étudiant
    7. Sans emploi
  6. But du voyage
    1. Professionel
    2. Famille
    3. Vacance
    4. Autre
    5. Scolaire
  7. Le vol
    1. vol seul
    2. Correspondance
  8. Destination
    1. Interne
    2. Étranger



Déterminer des formes, un système de signes

La grille : caption

Le profil : caption

La situation professionnelle : caption

Le vol : caption



Generer les signes

il s'agit désormais de créer un premier programme, qui permet de constituer l'ensemble des combinaisons des trois signes soit 5600 possibilités différentes.

⇒ solution envisagé un petit programme processing.

La methode

le programme est constitué de la manière suivante:

le programme vient charger l'ensemble des fichiers svg répartis dans 3 dossiers, (un pour chaque signe : le prof socio ; le profil professionnel/but du voyage; et les attributs du vol) puis il va les positionner afin qu'ils se juxtaposent. et va faire une boucle de chargement et sauvegarder chaque frame.

Ainsi dans le cas présent

pour S1[20],S2[70],S3[4] le comportement de base est que S3 = S3+1 lorsque que le nombre arrive à 4 il va ajouter +1 à S2... ainsi de suite jusqu'à que S2= 70 alors il ajoute +1 à S1 et la boucle recommence jusqu'à que S1 = 20, alors le programme se termine.

la sauvegarde des frames a été pensée avec deux possibilités, l'une pour une sauvegarde PDF, l'autre pour une sauvegarde SVG (selon usage que l'on aura plus tard)


[Le code]

Le rendu

Remarque :
Dans la masse du nombre, les signes paraissent trop complexes et difficilement lisibles notamment lorsqu'on veut lire et identifier à quelle typologie ils correspondent..
Rendu 1 possibilité.png



Nouvelle approche graphique

La nouvelle grille - les nouveaux signes

Pour ce nouvel ensemble, c'est avec une approche plus typographique, et en empruntant aux logiques des idéogrammes, que j'ai procédé.


La nouvelle grille:
en ajoutant une diagonale récurante j'ai pu simplifier les formes. elle permet aussi d'ajouter une dynamique aux signes,

Nouvellegrille.png

Les nouveaux signes : Voyageur.png Profilvolvoyageur.png Vol.png


Montrer l'ensemble des possibilités

Ex-comb.png


Comb H.png Comb F.png



Une première finalité

Dès le départ le but de ce programme était "En sortie : une représentation graphique des individus actuellement dans les aéroports mondiaux." Il faut savoir qu'en 2014 il y a eu plus de 3,3 milliards de passagers, quasiment une personne sur deux a pris l'avion.. Si l'on ramène ce nombre à un nombre plus identifiable et compréhensible pour nous, cela donne :

9041095 passagers par jour. 376712 passagers par heure. 6278 passagers par minute. 104 passagers par seconde.

je trouvais ce nombre trop important pour se rendre compte. De ce fait j'ai préféré utiliser les chiffres de l'europe : l'année dernière c'était 842 millions de passagers en europe, soit 2306849 par jour, 96118 par heure, 1601 par minute, soit 27 passagers par seconde.

Je me suis basé sur ce dernier chiffre pour faire la visualisation des passagers qui sont en se moment dans un aéroport au niveau européen.

Le programme de visualisation

Le processing que j'ai fait est constitué selon les principes du Particle systems de Daniel Shiffman


il se divise en trois parties :

Le "particle" : à laquelle j'ai mis une taille (modifiable pour une projection ou un écran 13 pouce) ainsi que les attributs fondamentaux de son comportement, la position, la vitesse, l'accélération et les rapports entre ces trois vecteurs. puis une lifespan afin de ne pas surcharger le programme. ainsi que le chargement d'une Shape (non attribuée pour le moment)

Le "particle system": Dans cette partie du programme il s'agit plus de l'évolution de la particule, notamment en lui attribuant un mouvement, une vitesse (en random) C'est aussi la que le principe d'ajouter une particule intervient.

Le "system" : Dans un premier temps il charge le chemin vers le svg (choisi aléatoirement) puis j'ai défini le nombre de particule qui devait se créer a chaque frame, pour le cas présent 27, le positionnement de base ou celles ci devait se positionner (ici un axe horizontal en bas de la fenêtre du programme) puis j'indique au programme de tracer tout cela .