Différences entre les versions de « Erg:: Laurent »
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| + | - La deuxième étape devrait être celle de la numérisation de chacun des caractère d'un même style, d'abord par le biais du scanner, et ensuite avec l'utilisation du logiciel Fons. Le seul problème c'est qu'il n'est pour le moment pas tout à fait opérationnel sur Windows, mais fonctionne pourtant très bien sur Linux. En attendant de trouver une alternative à cela, je continue mes recherches à la main, répertoriant mes différents dessins dans une farde A5, soit par caractères, soit par famille de police. | ||
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| + | Au départ le squelette que j'utilisais étais entièrement réalisé par moi-même, et il s'agissait soit de le construire de manière représentative (Squelette-Aa), soit en combinant des formes qui ne permettent pas une lecture directe (Squelette-Bb). J'effectue actuellement de nouvelles recherches qui consiste en une superposition d'un même caractère issu de différentes police (Garamond, Baskerville, ...), à la manière d'Adrian Frutiger autour de la classification de Maximilien Vox. Celui-ci expliquait qu'en faisant ses recherches, il s'était vite aperçu qu'une sorte de "squelette" apparaissait pour chaque lettres superposées. D'où l'utilisation abusive de ce terme pour mon projet. | ||
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| + | [[Fichier:Adrian Frutiger_Squellette.jpg]] | ||
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| + | == Références == | ||
| + | [http://osp.kitchen/tools/fons/ Fons] | ||
Version actuelle datée du 22 mai 2016 à 11:01
Introduction
Durant les vacances d'avril, j'ai passé les deux semaines à concevoir une police sur base d'une grille. J'ai fait l'erreur de croire que ma grille pourrait m'offrir toutes les subtilités que l'on peut observer sur des polices très soignées. Je me suis vite rendu compte qu'il m'était impossible d'obtenir satisfaction en travaillant presque uniquement à l'aide de logiciels numériques vectoriels, et que le dessin de caractère nécessite d'abord une approche physique.
Outil
Mon outil devrait me permettre de dessiner facilement, rapidement, et à la main, des caractères typographique sur base de squelettes spécifiques à chacun. J'aimerais également joindre à mon projet un logiciel du nom de "Fons" développé par Stéphanie Vilayphiou, enseignante à l'école de recherche graphique (erg) de Bruxelles et membre du collectif Open Source Publishing (OSP). Le but de cette utilisation serait d'avoir un aperçu rapide et de manière brut de mes polices dessinées, pour en juger de son potentiel avant de la numériser avec plus de précision. L'intérêt que je porte à un tel outil est d'abord de réduire considérablement le temps que je passe à vectoriser, avec un certains maniérisme, des caractères typographique pour un rendu finalement peu convaincant.
- La première étape consiste donc au dessin du caractère, grâce au squelette ainsi qu'à la grille qui permet une certaine précision. Viennent s'ajouter compas, règle et autres outils aidant à tracer. La grille de base mesure 10/7 cm, Les montantes et les ascendante font chacune la moitié de la hauteur d'x.
- La deuxième étape devrait être celle de la numérisation de chacun des caractère d'un même style, d'abord par le biais du scanner, et ensuite avec l'utilisation du logiciel Fons. Le seul problème c'est qu'il n'est pour le moment pas tout à fait opérationnel sur Windows, mais fonctionne pourtant très bien sur Linux. En attendant de trouver une alternative à cela, je continue mes recherches à la main, répertoriant mes différents dessins dans une farde A5, soit par caractères, soit par famille de police.
Nouvelle base
Au départ le squelette que j'utilisais étais entièrement réalisé par moi-même, et il s'agissait soit de le construire de manière représentative (Squelette-Aa), soit en combinant des formes qui ne permettent pas une lecture directe (Squelette-Bb). J'effectue actuellement de nouvelles recherches qui consiste en une superposition d'un même caractère issu de différentes police (Garamond, Baskerville, ...), à la manière d'Adrian Frutiger autour de la classification de Maximilien Vox. Celui-ci expliquait qu'en faisant ses recherches, il s'était vite aperçu qu'une sorte de "squelette" apparaissait pour chaque lettres superposées. D'où l'utilisation abusive de ce terme pour mon projet.
